Une commission nationale ad hoc créée au sein de la FFCB (Fédération française du commerce de bestiaux) en début d’année et un conseil métier dédié au sein de l’OTRE qui vient de naître. Si l’on ajoute ces instances à la mission déjà existante au sein de la FNTR, on peut mesurer l’urgence que les professionnels du transport d’animaux vivants ressentent de valoriser leur métier. Mais il y a plus urgent que cela. Une demande de plus en plus forte d’être entendus autant par le ministère de l’Agriculture que par celui des Transports. Car ce métier vit avec la difficulté liée à la réglementation européenne, très stricte, sur le bien-être animal, pas toujours compatible avec le RSE. « Nous voulons défendre le fait que le RSE n’est pas adapté aux contraintes qui pèsent sur le transport d’animaux, surtout si l’on est en simple équipage », expique Olivier Rizard, dirigeant des transports éponymes à Blanzy (71) et président de la Commission nationale du Transport d’Animaux créée par la FFCB. Avec lui, deux autres transporteurs siègent dans la commission aux côtés de commerçants. En plus de réclamer une certaine souplesse vis-à
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?