Du côté des banques comme de celui des captives des constructeurs, on tend à minimiser la part des refus de crédit. Surtout, on propose des alternatives. « En cas de refus, nous nous engageons à expliquer à notre client les raisons qui ont motivé notre décision. Nous étudions alors avec lui les possibilités d’accompagnement pour renforcer sa situation financière afin de lui permettre d’être en mesure de faire face aux financements qu’il recherche », explique Frédéric Rochoux, responsable de développement commercial entreprises de BNP Paribas. « Si l’analyse reste défavorable, la solution proposée peut consister à inciter le client à recourir à une technique de location pure auprès d’un établissement spécialisé », complète Florence Amphoux, responsable des relations presse à la Société Générale. « Le taux de refus demeure très faible. Quoi qu
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