Depuis les décrets 2012-557 du 24 avril 2012 et n° 2014-530 du 22 mai 2014, le principe de la RSE et de l’empreinte carbone entre dans les mœurs des entreprises de transport (transporteurs et commissionnaires) et, peu à peu, dans les pratiques. Faut-il y voir une pression réglementaire supplémentaire en matière sociale et environnementale ? Ou doit-on considérer ce cadre réglementaire comme un moyen de se distinguer de ses concurrents et de mobiliser les énergies en interne ? Lors du Club de L’OT, organisé le 25 février à Paris, la question du RSE a fait l’objet d’Ateliers de travail où les avis ont été partagés. D’un côté, des certitudes sur le bien-fondé d’une démarche qui porte l’entreprise et ses équipes vers le haut (en termes de qualité) ; et de l’autre, la crainte de se tromper de méthodologie d’évaluation et de génér
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