G. F. : Nous souhaitions pouvoir tenir un cahier des charges des salariés exposés aux facteurs de pénibilité tout en essayant de réduire au maximum les pénalités au niveau des cotisations. Aujourd’hui, nous savons quelle masse salariale est concernée et combien les expositions aux facteurs vont nous coûter. Nous n’aurons pas de surprise quant aux cotisations patronales qui seront intégrées dans la DSN (Déclaration sociale nominative). Nous sommes surtout concernés par le travail de nuit pour les chauffeurs, le bruit causé par notre activité frigo et, dans l’atelier, les postures pénibles et les agents chimiques. Sur les 90 salariés, 23 % sont affectés. Sur les personnes concernées, 70 % sont mono-exposées et 30 % sont poly-exposées. Pour le travail nocturne, nous avons un trafic régulier et nous ne pouvons pas le modifier. Mais nous avons compensé sur d’autres facteurs.
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