Sur un parc mondial de deux milliards de véhicules d’ici 2040, la part des motorisations électriques s’élèverait à 150 millions. Deux tiers seraient alimentés par des batteries électriques uniquement, un tiers au moyen d’une propulsion hybride. Selon Francis Duseux, président de l’UFIP, l’analyse actuelle faite sur le véhicule électrique est incomplète. « En tenant compte de son cycle de vie complet, l’équilibre des émissions de CO2 avec un véhicule thermique n’est atteint qu’au bout de 50 000 à 100 000 km parcourus ». En Europe rappelle-t-il en outre, la production d’électricité est supportée à 40 % par la combustion de charbon très générateur de gaz à effet de serre et d’émissions CO2.
Pointant la dépe
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