Jean-Paul Mulot, représentant permanent des Hauts-de-France au Royaume-Uni

Article réservé aux abonnés

« Notre priorité est de défendre l’axe logistique car la vitalité économique des PME de la Région en dépend. »
OT : La principale crainte des transporteurs qui font la traversée de la Manche suite au Brexit réside dans les délais d’attente que pourraient entraîner des contrôles renforcés pour passer la frontière. De quelles marges de manœuvre disposent les Hauts-de-France pour éviter cela ?

J.P. M. : La traversée risque de devenir moins pratique si une ligne de contrôle supplémentaire venait à être installée. C’est pour cette raison que nous avons demandé à Pierre Moscovici, commissaire européen aux Affaires économiques et financières, fiscalité et douanes, de pouvoir tester le dispositif européen de contrôle automatisé appelé « FastPass », sur quelques lignes à Calais. Les essais déjà effectués au port du Pirée (Grèce), en Roumanie, et à l’aéroport de Vienne (Autriche) ont donné de bons résultats, notamment en termes de fluidité du trafic. Les Hauts-de-France enregistrant un volume de trafic plus important que dans les endroits où le FastPass a été testé, les essais qui y seront opérés d

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualités

Europe

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15