Guillaume Chollet : C’est vaste. Cette relation dépend de mes stratégies pour établir des échanges intelligents avec mon client. Au-delà de la commande, de la livraison et de la facturation, cette relation passe par les liens que je tisse avec lui. Je dois le connaître, savoir ce qui l’intéresse et lui facilite la vie. Pour le connaître, il y a vingt ans, j’aurais utilisé mon téléphone et mené des enquêtes. Aujourd’hui, la data peut m’aider à mieux déterminer ce qu’il veut et ce que je peux lui apporter.
G. C. : Elle occupe une place importante mais pas antinomique avec la relation directe, la force d’un contact humain au téléphone. Les humains présentent certaines limites, de mémoire
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