Le gaz, malmené par un pétrole peu cher

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À l’achat, un véhicule gaz est 20 à 25 % plus cher. Son entretien est également plus onéreux tandis que son ravitaillement dépend d’un réseau de stations dont le nombre est encore insuffisant. La communication des chargeurs et les réglementations contraignantes restent les meilleures alliées de la filière du véhicule gaz dont les arguments économiques sont actuellement malmenés. Les difficultés rencontrées par les transporteurs depuis mars vont nuire à leurs résultats. Or, le suramortissement des véhicules gaz n’est possible que pour les entreprises qui réalisent des bénéfices. Parallèlement, le prix du méthane fossile atteint un minimum historique avec 0,09 €/kg au tarif de gros.Dossier réalisé par Loïc Fieux

Pas de bénéfices en 2020 ? Alors pas de suramortissement des véhicules GNV. Pour les transporteurs qui ont fait le choix du gaz, c’est la double peine. Président de l’Association française du gaz, Patrick Corbin défend des propositions pour maintenir l’attractivité économique du gaz « Pour toutes les entreprises et pour l’achat ou la location d’un véhicule GNV, la mise en place d’un crédit d’imp

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