Pour les chantiers inscrits sur la longue liste noire du mouvement, car qualifiés d’inutiles, obsolètes ou trop coûteux, deux options sont retenues : au pire, la fermeture ; au mieux, la révision en profondeur des projets. Plusieurs grands travaux sont concernés par ces deux hypothèses, à commencer par la LGV du Lyon-Turin, la bête noire des environnementalistes, et le gazoduc en construction dans les Pouilles qui doit acheminer le gaz de l’Azerbaïdjan et réduire la dépendance de l’Europe vis-à-vis de la Russie. Sans oublier le troisième corridor ferroviaire de Gênes stratégique pour le fret, le réseau à grande vitesse qui doit relier Brescia à Vérone et Padoue, le tunnel du Brenner, la construction de tronçons autoroutiers en Lombardie et Vénétie et celle d’un pont à Rome pour désengorger la circulation à la sortie de la ville. Enfin, la construction de pistes aéroportuai
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