Le portique règne sans partage

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Le lavage extérieur répond avant tout à un souci d’image. Le faible intérêt des transporteurs pour les solutions de recyclage est partiellement compensé par la réduction des consommations d’eau des automates où le portique domine.

Si la France connaît des périodes plus fréquentes de canicule ou de forte chaleur, le pays est globalement épargné par la sécheresse depuis les années 2000. Du coup, le prix de l’eau demeure bon marché, entre 2,5 et 4 € le m3 selon les régions, et ne motive pas les transporteurs à compléter leur station de lavage par des solutions de recyclage. Sans espérer le pire, « dans la plupart des régions et communes, le lavage des véhicules industriels est toléré en période de sécheresse sous réserve d’être équipé d’un dispositif de recyclage. En Allemagne, ces systèmes sont obligatoires lors de la construction d’une station neuve », rappelle Fabrice Collet, directeur Grands comptes et marketing de la société WashTec France. Sur le terrain, ce risque semble insuffisant. « Lors de la création d’une nouvelle station, les transporteurs nous interrogent pourtant systématiquement sur

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