« Le salaire minimum n’existe pas en Italie »

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Allègement du coût du travail, contrôle du cabotage illégal, infrastructures routières… autant de dossiers qui, en Italie, alimentent les négociations entre le ministère des Transports et des Infrastructures et l’Union nationale des associations de transporteurs italiens (Unatras). L’Officiel des Transporteurs fait le point avec Amedeo Genedani, le président de cette fédération.
L’Officiel des Transporteurs : Quel bilan brossez-vous de l’année 2015 pour le transport routier de marchandises italien ?

Amedeo Genedani : L’année a été difficile. Les discussions sur l’allègement du coût du travail de 15 % pour une période de cinq ans sont toujours en cours. De même, l’application des normes européennes sur les délais de paiement, qui tournent autour de quatre à six mois en Italie, n’est toujours pas effective. Par ailleurs, le gouvernement italien avait remplacé en décembre dernier la loi sur les coûts minimaux par le système de liberté contractuelle dans la fixation des prix. Mais récemment, le nouveau ministre des Transports et des Infrastructures, Graziano Delrio, a remis en question cette décision. Nous

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