Le transport routier à bout de souffle

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Pour les transporteurs italiens, l’année sera difficile. Les dossiers épais comme l’Ancien Testament s’amoncellent sur le bureau d’Amedeo Genedani, le président de l’Unatras. L’Union des associations de transporteurs italiens qui tente d’obtenir une révision en profondeur des conditions de travail pour relancer un secteur essentiel pour l’économie mais à bout de souffle.

Défiscalisation, dumping social, coûts minimaux pour réduire l’insécurité routière, infrastructures. En ce début d’année, les transporteurs italiens ont déjà préparé leurs dossiers en prévision des prochaines discussions avec leurs interlocuteurs institutionnels. « 2016 a été une année difficile et l’année qui commence, devrait être identique car nous ne nous faisons malheureusement aucune illusion. Notre gouvernement estime que le transport routier n’est pas important », déplore Amedeo Genedani, président de l’Union des transporteurs italiens, Unatras. Pas important, un mot qui revient ponctuellement au fil des discussions sur la politique du ministre des Transports et des Infrastructures, Graziano Delrio. « Il parle de cure du fer, de la

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