Gaël Perdriau, maire de Saint-Étienne et président de la métropole, se réjouit : « C’est une réelle satisfaction, mais ce n’est pas une surprise, car nous agissons dans l’intérêt général, pour le bien public de nos territoires et de nos habitants… Il ne manque que la signature du gouvernement pour lancer les travaux. »
Bien que la décision du tribunal conforte l’un des principaux financeurs du projet, l’aval de l’État est incontournable pour ce dossier structurant pour la Région Auvergne-Rhône-Alpes, qui prévoit la construction d’une autoroute, l’A45, en remplacement de l’actuelle A47, très défaillante, qui relie Saint-Étienne à la vallée du Rhône, au sud de l’agglomération de Lyon. Son financement estimé serait réparti en trois tiers équivalents
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