Le TRM espagnol croise le fer

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Outre-Pyrénées, les transporteurs entendent bien être indemnisés des surfacturations subies de la part des fabricants de poids lourds. Les premières décisions de justice, favorables aux demandeurs, commencent à tomber mais les constructeurs n’ont pas dit leur dernier mot.

En 2016, la Commission européenne avait imposé des sanctions à hauteur de 2,93 Md€ à cinq groupes (MAN, Volvo/Renault, Iveco, Daimler et DAF). Puis, en 2017, Scania avait été condamné à son tour (880 M€). Il leur avait été reproché de s’entendre pour surfacturer à un prix supérieur au prix réel les camions vendus pendant la période 1997-2011. Ces entreprises ont représenté la quasi-totalité du marché espagnol des poids lourds.

Depuis 2018, de nombreuses entreprises du TRM ont saisi les tribunaux espagnols. Les organisations professionnelles du TRM espagnol jouent un rôle clé. La Confédération espagnole du transport de marchandises (CETM), principale association représentative de la profession, a mandaté le cabinet CCS Abogados qui gère 4 000 dossiers, soit 35 000 camions, selon les chiffres fournis par cette organisation. La Fédération n

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