FRANÇOIS-MICHEL LAMBERT : Notre modèle de développement est un modèle d’économie linéaire destructeur : je prélève, je transforme, je consomme et je jette. Il faut le changer en un modèle d’économie circulaire qui mette la ressource au centre du développement. La matière première doit être préservée et donc à chaque étape d’un usage on doit en tirer une efficience, c’est-à-dire pouvoir faire en sorte qu’elle ne soit pas détruite. On estime que pour un euro public injecté ce sont 6 à 15 € de valeur ainsi créée. Ce sont les chiffres au Royaume Uni. Le papier illustre cet esprit, pas seulement dans le recyclage, mais aussi dans les notions d’usage, de « pensée » fibre…
F.-M.L : L’économie circulaire est
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