L’écosystème du gnv tire profit des réglementations

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Avec l’interdiction prochaine des véhicules diesel dans les villes, le GNV s’attend à des lendemains qui chantent. Des stations GNV se construisent à la demande de transporteurs. Les cartes carburant l’intègrent. En parallèle, tout un écosystème d’agriculteurs-méthaniseurs se met en place.

Le gaz naturel pour véhicules (GNV) est appelé à connaître un succès grandissant du fait de réglementations contraignantes. Ainsi, à l’instar de bien d’autres villes européennes, Anne Hidalgo, la maire de Paris, a annoncé l’interdiction des véhicules diesel pour 2024 dans la capitale et celle de tous les véhicules thermiques pour 2030. Le Grand Lyon, les Bouches-du-Rhône, la Drôme, l’Eure-et-Loir, l’Hérault, la Haute-Savoie, le Maine-et-Loire, les Pyrénées-Atlantiques et la Savoie lui emboîtent le pas en imposant le système de vignettes Crit’Air. D’où l’intérêt du GNV, qui est Crit’Air 1.

D’autant que les entreprises d’Île-de-France peuvent toucher, pour l’instant, une subvention de 6 000 euros pour un VP ou un VUL électrique, GNV ou hydrogène. Et de 9 000 euros pour un VU électrique, GNV ou hydrogène d’

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