Ce devait être le voyage de sa vie. Mais la crise sanitaire liée au Covid-19 est venue troubler les plans de Yann Guisnel, le patron des transports éponymes. Parti début mars pour quatre semaines à l’autre bout du monde, c’est à des milliers de kilomètres de son siège breton qu’il a dû gérer les premiers jours du confinement. « Malgré 11 heures de décalage, il a fallu prendre les décisions qui s’imposaient dans l’urgence avec l’équipe de direction », raconte-t-il. Contraint d’écourter son séjour, il est de retour le 23 mars sur le sol français, avant de « se jeter dans l’arène ». En bon général, il commence par faire le tour de ses troupes et voir l’ampleur du problème.
Spécialisé dans l’acheminement de meubles (201 véhicules), ce fleuron français du transport avance au ralenti. Cette activité emploi
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