CHRISTIAN SCHMITT : On ne peut pas s’engager ainsi sur la pertinence de certaines couvertures par rapport à d’autres. Le choix dépend des activités spécifiques de l’entreprise, de son fonctionnement, de sa relation client, de son champ d’action, de la typologie des produits transportés, de sa santé financière… En dehors des assurances obligatoires comme celles sur les véhicules et de responsabilité civile professionnelle qui permettent de se couvrir des dommages corporels ou matériels inhérents au risque routier, s’assurer sur des options de risque relève du choix stratégique de chaque entreprise et de l’arbitrage de chaque dirigeant entre la notion d’aléa qui peut intervenir et la mesure du coût de couverture qui peut être supportable ou pas. Mais on peut distinguer deux catégories d’assurances non obligatoires : d’une part, celles liées à l’aléa pur, autrement dit à des évènements imprévisibles, impromptus, intempestifs ; d’autre part, les assurances de confort souven
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