Les contrôles sont-ils adaptés à l’évolution des véhicules ?

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Si la privatisation du contrôle technique a répondu aux attentes des transporteurs routiers en termes de service, l’étude de son périmètre révèle des failles surprenantes. Elles concernent les émissions polluantes, les dispositifs de sécurité embarqués et l’accréditation des centres. Les travaux pour les résoudre croisent l’harmonisation européenne du secteur.

Depuis le 1er janvier 2005, l’exécution des contrôles techniques périodiques des véhicules de plus de 3,5 t et de leurs remorques a été confiée au privé dans le respect d’un cahier des charges fixé par les pouvoirs publics. « À l’époque, la France comptait 135 centres gérés par les DRIRE », rappelle Cathy Bieth de la Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC). Synonyme de délais, d’immobilisations et donc de coûts, l’organisation et le maillage territorial de ce service public ne répondaient plus aux besoins des transporteurs routiers. « Ce constat, partagé avec les pouvoirs publics, est à l’origine de sa privatisation », explique la responsable qui, au sein de la DGEC rattachée au ministère de l’Écologie, du Développement dur

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