OLIVIER THOUARD : Aujourd’hui, nous sommes toujours dans l’attente. Cependant, quelle que soit la situation, nous devons nous préparer. Il reste évident qu’en l’absence d’accord entre le Royaume-Uni et l’Union européenne, les parties prenantes vont rencontrer d’énormes difficultés à être prêtes d’ici au 29 mars. Cela serait beaucoup plus confortable si les opérateurs impactés par le Brexit obtenaient plus de temps pour se préparer, par exemple un décalage en 2020. Dans tous les cas, l’Europe sera perdante en cas de Brexit dur. L’hypothèse d’accords bilatéraux verra difficilement le jour car il est impossible pour les parties de se projeter si elles ne savent pas où elles vont.
O. T. : Dans les deux organisations, nous mobilisons to
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