Les États membres n’ont pas de feuille de route GNV

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Dans une note publiée le 8 novembre dernier, la Commission européenne a relevé les lacunes des États membres en matière de carburants alternatifs. Elle a présenté un plan d’action pour y remédier.

L’obligation pour les États membres de fournir une infrastructure minimale pour les carburants alternatifs, en vertu de la directive 2014/94 du 22 octobre 2017 (1), est très peu respectée. C’est le constat dressé par la Commission dans sa note. Elle y souligne que seules la Belgique, la République Tchèque, la Hongrie et l’Italie ont donné la priorité au déploiement d’infrastructures de carburants alternatifs. D’autre part, des États membres qui ont installé un nombre important de points de recharge GNV, ont déclaré ne pas pouvoir en faire plus pour le moment (Autriche, Allemagne, Luxembourg, Pays-Bas). De plus, bien que des objectifs liés aux véhicules propres aient été fixés dans 19 États, les opérations projetées restent inappropriées et ne permettront pas de couvrir le réseau de transport transeuropéen (RTE-T). La Commission a donc présenté un plan d’action afin de couvrir le « déficit d’infrastructure

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