Dans un peu moins d’un mois, les tarifs des péages autoroutiers vont subir une hausse comprise entre + 1 % et + 2 %, dans la plupart des cas, soit une augmentation plus importante que celles subies en 2016 et en 2017. Telle est la fourchette, qui reste à confirmer par décret, et qui a été annoncée en novembre dernier par le ministère devant le Comité des usagers de la route. Ces hausses tiennent compte des prévisions d’inflation les plus pessimistes, du rattrapage de la redevance domaniale – pour financer les infrastructures de transport – et du financement des travaux. Toujours est-il que la hausse des péages n’est pas du goût de tout le monde et surtout pas de celui des transporteurs.
« C’est un scandale d’État », s’insurge Philippe Bonneau responsable de l’OTRE en Normandie — où les péages pèsent particulièrement lourd dans les comptes des en
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