Les infrastructures ne tiennent pas la route

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Après l’effondrement, le 24 novembre, d’un pont autoroutier dans la région de Turin suite à un affaissement de terrain provoqué par les pluies torrentielles qui ravagent l’Italie depuis deux semaines, la question de la sécurité des infrastructures italiennes est dans tous les esprits.

Selon l’Union des provinces italiennes, quelque 2 000 ponts et viaducs présentent un risque d’effondrement en raison de la haute densité du trafic et du manque de maintenance. Un autre rapport commissionné par le gouvernement affirme que 1 425 viaducs sont laissés à l’abandon, aucun gérant n’ayant été chargé de l’entretien de ces infrastructures. Toujours dans le nord du pays, huit ponts gérés par la société Autostrade, détenue par le groupe Atlantia, dont la famille Benetton demeure le principal actionnaire avec 30,25 % du capital, risquent également de s’effondrer. Autre problème important : les galeries, dont 80 % ne sont pas aux normes, selon le ministère des Infrastructures et des Transports. En octobre dernier, l’Union européenne a brandi la menace d’une procédure d’infraction en demandant aux gérants autoroutier

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