Les limites des bateaux de papier

Article réservé aux abonnés

En 2008, UPM Chapelle Darblay, filiale du papetier finlandais, anégocié un partenariat avec Marfret pour développer sa « rverse logistic ». L’équilibre économique du transport dédié démontre aujourd’hui ses limites.

L’usine UPM Chapelle Darblay, à Grand-Couronne, près de Rouen (76) produit entre 250 et 260 000 tonnes de papier journal par an, et tend à atteindre 280 000 t. Cette production est à 100 % issue de fibres recyclées à partir de papier collecté. Dès 2005, la société entreprend d’utiliser une barge automoteur sur la Seine de l’opérateur TMF pour transporter vers Rouen du papier à recycler collecté en région parisienne. En 2008, le groupe papetier finlandais signe un partenariat avec Marfret pour développer sa « reverse logistic ». UPM s’est engagé avec le Syctom, l’Agence métropolitaine des déchets ménagers qui regroupe 84 communes d’Ile-de-France, sur un programme visant à transporter par voie fluviale, entre Paris et Rouen, 50 à 55 000 t annuelles de papier journal et magazine à recycler mis à disposition par le syndicat. Dans l’autre sens, UPM veut acheminer vers Paris sa production

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualités

Grand angle

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15