Contrôles, salaire minimum, déduction forfaitaire, conditions de travail. Depuis plusieurs mois, ces dossiers empoisonnent les relations entre les transporteurs et le ministère des Infrastructures et Transports. A la fin de l’hiver dernier, la rencontre entre la délégation représentant les principales associations de secteur et les experts du ministère, avait d’ailleurs débouché sur un ultimatum. « Si nos revendications restent lettre morte, nous éteindrons les moteurs de nos camions le temps qu’il faudra » avaient synthétisé les représentants des transporteurs en colère.
Depuis, le printemps puis l’été sont passés et les transporteurs n’ont pas encore bloqué le pays. Mais la bombe n’est pas pour autant désamorcée. Car, si le ministère a lâché du lest sur la quest
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