Les transporteurs déterrent la hache de guerre

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La rencontre entre organisations professionnelles et gouvernement, le 16 septembre, débouche sur une sorte de non-lieu. L’exécutif n’a pas réagi pas au verdict de la Cour de justice de l’UE qui tacle la loi dite « costi minimi » adoptée en 2008.

Condamné par la Cour de justice de l’UE (CJUE) le 4 septembre dernier pour violation des droits de l’UE sur la concurrence à travers l’application de son dispositif sur « le coût d’exercice d’une entreprise de transport routier de marchandises pour compte de tiers », appelée aussi « costi minimi », l’État italien réfléchit. C’est du moins le sentiment des organisations professionnelles qui ont rencontré un représentant de l’exécutif mardi 16 septembre pour discuter du verdict luxembourgeois et de ses conséquences sur le TRM. « Il faut d’abord prendre conscience du fait que nous n’avons aucune importance pour le gouvernement. Notre secteur, qui est tout de même essentiel dans le développement de l’économie italienne, n’existe pas, s’énerve Pasquale Russo, secrétaire national de Conftrasporto. Le ministre des Infrastructures et des Transports et son

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