JEAN-MICHEL MERCIER : Le marché s’est bien maintenu. Les délais de rotation ou d’écoulement des véhicules sont courts, ce qui entraîne des niveaux de stock plutôt bas. Il a trouvé sa propre rentabilité avec, cependant, des prix en moyenne légèrement inférieurs à ceux de l’an dernier. Mais cette baisse n’est pas le reflet de stocks élevés : elle tient à la disparité de la demande au niveau régional. L’offre peut être décalée par rapport à la demande sur certaines catégories de véhicules en fonction des régions. En attendant, le marché devrait être moins dynamique qu’en 2015, avec des volumes de vente en baisse de 2 à 3 %. On constate ainsi moins de transactions. Le potentiel des véhicules disponibles était plus important en 2015. Mais globalement, on peut dire
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