L’État renonce à la liaison Dourges-Tarnos

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L’État renonce à la liaison Dourges-Tarnos

Le projet nécessitait un financement public de 375 M€, un montant trop élevé pour une « rentabilité négative ». Le gouvernement renonce finalement à l’autoroute ferroviaire atlantique. Bonne ou mauvaise surprise pour les défenseurs du report modal ?

La nouvelle divise les Écologistes et les défenseurs de l’environnement mais réjouit les routiers et autres acteurs du transport combiné. L’autoroute ferroviaire atlantique devait voir le jour en janvier 2016, ce ne sera finalement pas le cas. « L’État ne va pas signer ce contrat pour la mise en œuvre de l’autoroute ferroviaire », a informé le 30 avril, Alain Vidalies, le secrétaire d’État aux Transports, sur les ondes de France Bleu Gascogne. La liaison de 1 050 km entre Dourges et Tarnos (Lille-Bayonne) – annoncée fièrement en 2013 par Frédéric Cuvillier, alors ministre des Transports – devait permettre de transporter 85 000 poids lourds par an sur les rails. L’ancien ministre, actuel député PS du Pas-de-Calais, a pris connaissance de la décision du gouvernement avec « stupéfaction ». « Cette annonce porte une nouvelle fois atteinte à la

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