Autant dire que les États membres sont loin d’être d’accord mais on peut considérer que la proposition d’instaurer un délai de carence — défendue en France depuis la présentation du Paquet Mobilité fin mai 2017 — commence à être admise, comme le montre la proposition des deux jours avancée par la présidence bulgare de l’Union dans le cadre des travaux techniques en cours dans les institutions européennes. Peut-être un délai symbolique mais que l’on peut considérer comme un geste de la part du bloc de l’Est vers les autres pays, dans un climat qui reste pourtant tendu sur les différents volets du Paquet Mobilité. Un geste qui a fait immédiatement réagir l’OTRE. La fédération rappelant sa vigilance sur les travaux en cours. L’OTRE trouve le délai des deux jours « illusoire » et elle demande rien de moins que 14 jours d’intervalle avec retour obligatoire au pays où le véhicule a été immatriculé. La FNTR ne s’al
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