« La délibération du 26 septembre 2016 a été adoptée après une enquête publique réalisée sur le fondement d’une étude d’impact du projet…. qui comportait des inexactitudes, des omissions et des insuffisances concernant les effets du projet sur la circulation automobile, les émissions de polluants atmosphériques et les nuisances sonores, éléments majeurs d’appréciation de l’intérêt général du projet », a argumenté le Tribunal administratif lors de sa décision. « Cette décision est intolérable. Elle revient à prioriser la circulation automobile sur la santé publique », s’est insurgée la Maire de Paris. Et la même de défendre les résultats positifs de la mesure qui aurait fait baisser la pollution de 25 % sur la rive droite. Par conséquent, la mairie a décidé de prendre aussitôt un nouvel arrêt�
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