L’IRU dans la ligne de T.I.R.

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Un ex-salarié de l’Union internationale des transports routiers (IRU) dénonce au pénal les pratiques financières opaques de cette organisation installée à Genève. La direction de l’IRU nie en bloc.

Marek Retelski, 38 ans, est juriste. Recruté en 2001 par l’Union Internationale des Transports Routiers (IRU), association à but non lucratif fondée en 1948, il a été notamment en charge du système TIR. Nommé secrétaire général adjoint de l’IRU en 2015, Marek Retelski a été licencié en janvier 2016 pour « violation du devoir de fidélité » (ndlr : licenciement pour faute grave). Il dit avoir eu connaissance de « pratiques opaques » exercées au sein de la direction. Ce lanceur d’alerte en a informé le 7 avril, dans un courriel détaillé, l’ensemble des associations membres de l’IRU pour leur expliquer en détail les irrégularités constatées. Et il a déposé, début avril, une plainte pénale au bureau du procureur de l’État de Genève, Olivier Jornot. Un mémento qui comporte pas moins de 343 pages.

Une quinzaine de filiales

Dans ses grandes lignes, la plainte vise le secrétaire général de l’IRU, Umber

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