Livraison urbaine, un parcours semé d’embûches

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La livraison urbaine du dernier kilomètre s’apparente à une course d’obstacles, à entendre les transporteurs invités le 15 mai dernier à Marseille au salon Selfi (Salon exclusif logistique froid innovation Food &Pharma), à s’exprimer sur leur plus-value auprès des chargeurs et collectivités. Entre multiplication des contraintes réglementaires et difficultés pour circuler et livrer la marchandise à bon port, les professionnels témoignent…

Dans un environnement de plus en plus contraint, livrer les hyper-centres devient une gageure. « À Bruxelles, nous avons expliqué que nous devions poser des planches sur les pavés pour faire circuler des rolls de 350 kg qui, au final, se renversent », explique Nicolas Olano. Ce spécialiste de la logistique du frais, de la marée, des produits carnés et des surgelés (Picard) dresse un constat alarmant : « 15 % de mes effectifs dédiés au dernier kilomètre sont en arrêt maladie. » Ce parcours du combattant pour livrer les échoppes des centres-villes est assorti de coûts induits y compris pour les plus vertueux. « Même si à l’achat d’un véhicule au gaz nous bénéficions d’u

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