Le Président de la République a déclaré vouloir prendre personnellement sa plume pour répondre aux organisations syndicales du TRM, lesquelles l’avaient interpellé le 21 novembre dernier en marge d’une journée d’action à la frontière franco-belge. Motif de l’inquiétude syndicale : l’exclusion du TRM de la révision de la directive détachement. Et son intégration dans le Paquet mobilité, actuellement en discussion à la Commission de Bruxelles où l’Alliance du routier, qui regroupe 8 pays de l’UE (dont la France, l’Allemagne, l’Italie et l’Autriche), et les pays du bloc de l’Est et de l’Europe centrale, se livrent une guerre sans merci, les premiers pour la mise en place de conditions de concurrence plus « loyales », les seconds pour le maintien du statu quo. Rappelant que son gouvernement s’est fermement opposé à l’instauration d’exceptions d’application du détachement au transport routier, Emmanuel Macron
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