MAX JAMMOT : Avec un tissu entrepreneurial composé de nombreux intervenants TPE et PME, aujourd’hui fragilisés par une conjoncture difficile, les entreprises françaises de la filière des transports sont particulièrement concernées par le risque de crédit. À ce titre, cette filière est malheureusement considérée comme l’une des principales activités à risques de l’économie française, avec comme corollaire un accès moins aisé au crédit bancaire. Parallèlement, ces dernières années, un renforcement des modalités d’application des délais de paiement s’est opéré. In fine, force est de constater un écart de 11 points entre les délais préconisés par le législateur et la moyenne de la filière. De fait, 41 jours constituent actuellement le délai réel.
M. J. : Plus que le délai en lui-même, la problématique réside davantage dans sa v
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