« Nous sommes l’un des seuls pays européens à ne pas nous préoccuper du fret »
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 19.08.2024Par : Gwenaëlle Ily, Carine SaiLecture : 7 min.
Le Groupement national des transports combinés a élu le 12 mai dernier, à sa tête, Dominique Denormandie qui y présidait déjà la commission route. Il dirige également les Transports Labouriaux (71), spécialisés dans le transport de vrac solide en combiné rail-route, ce qui le place aux premières loges pour comprendre les problématiques des adhérents afin de défendre leurs intérêts. Blocage de terminaux, pénurie de carburant, grèves… le transport combiné est malmené depuis le début de l’année.
L’Officiel des Transporteurs : Vous êtes accueilli à la présidence du GNTC par un tas de dossiers brûlants, notamment celui qui concerne l’aide à la pince… Qu’en est-il aujourd’hui ?
DOMINIQUE DENORMANDIE : Il y a une dette par rapport à des engagements formels pris le 17 novembre 2015, lors de l’assemblée générale du GNTC. Ce que nous réclamons aujourd’hui, c’est tout simplement l’application de cet accord. L’État tarde à remplir ses obligations. Précisons qu’il y a deux éléments dans ces aides – des aides et non subventions — : l’aide dite « à la pince » de 12 euros TTC par manutention, payable à
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques