MICHEL AKAVI : Le marché de la messagerie reste très difficile en raison du nombre d’acteurs et de la pression sur les prix. Les gros opérateurs comme La Poste, bien gérés, ou à capitaux publics comme Geodis, se maintiennent. Pour notre part, nous avons fait le choix de nous retirer de ce marché domestique depuis la cession de Ducros. En France, comme dans beaucoup d’autres pays, DHL est à présent tourné presque exclusivement vers l’international. À cette échelle, nous disposons d’une force importante, une sorte de monopole que nous procure notre réseau puisque nous sommes présents dans 222 pays. Personne ne possède un tel « network ». Pour se doter d’un tel réseau
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