ANDRÉ THINIÈRES : Créée début 2010, l’association ne peut à ce stade qu’effectuer un bilan partiel. Les chiffres d’activité de 2014 montrent que les OFP ont manipulé à peu près 4 % du tonnage total transporté sur le réseau ferré. On peut considérer que c’est encore peu, mais pas si mal comparé à l’Allemagne. Six ans après l’ouverture à la concurrence en 1996, les opérateurs alternatifs ne représentaient qu’environ 6 % du marché. Malheureusement l’innovation, qu’elle soit organisationnelle ou technique, est toujours lente dans un secteur surréglementé et surencadré comme le ferroviaire.
Une dizaine d’OFP existe à ce jour alors qu’une étude de 2010 faisaient état d’un potentiel d
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