« On pourrait peser sur le nombre de procédures collectives »

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PROCÉDURES JUDICIAIRES AU 4E TRIMESTRE 2014

Responsable de l’observatoire consulaire des entreprises en difficulté (OCED) à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Île-de-france, Claudine Alexandre-Caselli estime que, pour assurer la pérennité de leurs établissements, les chefs d’entreprises en difficulté devraient davantage avoir recours à la conciliation ou au mandat ad hoc.
Pourriez-vous nous présenter l’OCED ?

CLAUDINE ALEXANDRE-CASELLI : C’est un observatoire qui n’est pas sur le terrain en tant que tel. nous ne sommes pas auprès des entreprises mais plus en amont, au travers des actions d’information (nous publions 4-5 revues différentes) et des interventions sur les textes législatifs ou réglementaires liés aux difficultés d’entreprises. nous avons, par exemple, été consultés sur la réforme (à venir) des tribunaux de commerce. nos interventions très en amont permettent d’alimenter les prises de position de la CCI.

Que revêtent de concret vos interventions ?

C. A.-C. : nous avons des relations très régulières avec les différents ministères qui sont concernés par ces questions liées aux entreprises en difficulté, notamment le minis

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