Penser à l’investisseur, un accompagnateur

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Au-delà de l’interlocuteur naturel qu’est la banque, de plus en plus d’entreprises du transport ouvrent leur capital lors d’une acquisition. Pour augmenter leur capacité d’achat, mais aussi pour renforcer leur accompagnement avec des partenaires impliqués sur le long terme.

Le premier interlocuteur financier auquel s’adresse un chef d’entreprise qui projette une acquisition reste souvent son banquier. « En principe, estime Pierre Cohen, directeur associé du cabinet de conseil P2C Partners, à Paris, le dirigeant a pris des assurances pour être suivi par sa banque, voire ses banques habituelles, qui sécurisent l’emprunt et partagent le risque à deux, trois ou quatre. » Autre facteur de « sécurisation », le financement par LBO (leverage buy-out ou achat à effet de levier), réalisé par une société holding qui finance tout ou partie du rachat, porte l’emprunt et l’endettement.

Une autonomie juridique

« La constitution d’une holding est assez systématique dans la croissance externe, confirme Vincent Stiévenard, chargé des fonds propres pour le réseau nord de Bpifrance. Cela évite notamment d’avoir à financer

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