Possibles, mais pas systématiques

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Après avoir conquis les BOM et la grande distribution, les motorisations gaz plafonnent actuellement à quelque 2 % de parts de marché. C’est suffisamment peu pour dissuader certains constructeurs d’être présents sur ce qui est encore une niche. Le développement du méthane carburant se fondera sur la volonté des chargeurs, sur des schémas d’exploitation plus rentables que ceux possibles avec le gazole et surtout, sur la contrainte réglementaire.

Comme l’éthanol ED95, le méthane accède à la vignette Crit’Air 1, sésame indispensable à une activité parisienne à partir de 2024. Le gaz devrait en outre être admis dans la capitale après 2030. Comme toutes les énergies alternatives, le gaz souffre d’un réseau de distribution qui bride sa banalisation. Quant au gaz liquéfié (GNL), il perd partiellement son argument-massu – l’autonomie – avec l’arrivée de configurations GNC à grande capacité.

Disponible sur les poids lourds depuis plus de vingt ans, le gaz naturel pour véhicule (GNV) commençait à faire partie du paysage lorsque le pourtant sérieux quotidien Le Monde s’est senti obligé de jouer les caisses de rés

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