Quand l’alliance favorise l’intégration

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Feeling, protocole, apprentissage, philosophie, intervention d’un conseiller : chaque acheteur, selon son histoire, ses expériences plus ou moins bonnes, ses ambitions, possède sa propre méthode d’intégration des équipes lorsqu’il acquiert une entreprise.

Certes, tout est question d’échelle et de contexte. La multinationale française qui achète une entreprise au Brésil n’adoptera pas la même stratégie d’intégration des salariés que la PME de transports bretonne qui acquiert un confrère de Saône-et-Loire. Restent les mêmes questions de fond : comment transmettre sa culture d’entreprise aux nouvelles équipes en respectant leurs habitudes ? Faut-il reprendre la culture de A ? Celle de B ? Fusionner les deux en une nouvelle ?

Entre attendus et attentes de la hiérarchie

« À l’international, il s’agira d’abord de s’initier à la culture du pays concerné, relève Jean-Luc Durrieu, responsable fusions et acquisitions dans le groupe de conseil en RH Mercer. Au national, les différences sont plus subtiles et sensibles. Il faudra s’intéresser à la façon dont le travail est fait, aux modes de décision et de com

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