La longue queue redoutée par les transporteurs qui traversent la Manche n’est pas d’actualité, mais les acteurs économiques attendent des décisions concrètes pour se préparer au Brexit. Ils suivent l’avancée des négociations entre l’UE et le Royaume-Uni et espèrent un accord de libre-échange.
Inquiétudes
Selon une étude commandée à l’Imperial College de Londres par la BBC, le Brexit risque d’entraîner des conséquences négatives sur le trafic trans-Manche en termes de temps d’attente. Une hypothèse de deux minutes d’attente supplémentaire à Folkestone, côté britannique, se traduirait par 30 miles (environ 48 km) de bouchons au
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