Reverse logistics en anglais, logistique inversée en français, ou encore, « reverse logistique »… Tous ces termes désignent une même activité devenue un marché à part entière. Historiquement, il s’agissait de la récupération des emballages de marchandises livrées en B to B. Si nombre de transporteurs proposent depuis longtemps cette prestation en complément de la livraison, celle-ci est de plus en plus structurée et formalisée : « Nous venons de signer un contrat de reverse logistique avec le distributeur Gemo pour tous ses magasins du Grand-Est, témoigne ainsi Jérôme Plâ, directeur général des Transports Vingeanne. Comme nous les livrons avec des rolls, il faut bien les récupérer. » Les rolls ne sont plus les seuls à être réutilisés. En cause : l’exigence de tr
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