SÉBASTIEB DORTIGNAC : Nous avons un véhicule bio GNV à Strasbourg en livraison urbaine, depuis moins d’un an, trois autres sont prévus à Rennes, Limoges, Vannes, ainsi qu’à Rungis. Le tout pour de la distribution urbaine. Pour l’instant, on limite à cela car pour nous, il s’agit d’une expérimentation en exploitation. La demande des clients et celle des agglomérations nous y pousse, mais nous voulons nous faire notre propre opinion, notamment quant à la rentabilité. Pour l’instant, nous estimons qu’en livraison urbaine, ce n’est pas rentable, mais nous ne nous mettons pas de barrière : nous allons voir si nous pouvons atteindre un iso coût par rapport au gazole voire, dans l’idéal, un gain.
S. D. : Pour ces porteurs, nous travaillons avec Iveco, même si ce n’est pas notre fournisseur « historique ». Les constructeurs ont des points de vue différents sur le GNV et étudient aussi l’électricité, que ce soit sur batterie ou pile à hydr
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