Un bilan sur la défensive

Article réservé aux abonnés

En défendant son approche critique, voire sévère, Bernard Roman, le président de l’Arafer, s’est livré au traditionnel exercice du bilan. Mais sa version 2018 était ternie par les secousses du pacte ferroviaire et de la prochaine loi sur la mobilité.

« Le contrat de performance est mort ! » C’est en ces termes, en écho aux propos d’Élisabeth Borne, que Bernard Roman a enterré le texte qui liait SNCF Réseau et l’État, sur lequel il a exprimé des critiques acérées à maintes reprises. En revanche, l’Autorité garde sa volonté de réduire le coût des péages. « Les opérateurs ferroviaires ne peuvent pas couvrir les frais fixes, explique la vice-présidente Anne Yvrande-Billon. L’Arafer a récemment émis un avis demandant, d’une part, la révision des coûts soutenus par le gestionnaire du réseau et, d’autre part, la réduction de la redevance due par les opérateurs. » Ce sont ces derniers qui devraient directement percevoir la somme compensatoire que l’État versait à SNCF Réseau. Par ailleurs, ce sont les députés et les sénateurs qui ont été remerciés pour avoir sauvé l’avis conforme de l’Ara

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualités

Actualités

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15