Depuis quelque temps, les transporteurs respirent de mieux en mieux. Libérés par la baisse continue du prix du gazole, ils sont encouragés à investir. Les fournisseurs d’ordinateurs de bord témoignent d’une embellie tout aussi financière. Ils voient en 2016 un marché de renouvellement. De nombreuses flottes arrivent en effet au bout de leurs boîtiers embarqués, qu’elles détiennent depuis 10 ans ou plus. De fabrication manifestement robuste, ces premières générations d’ordinateurs fonctionnent encore, à l’exemple des boîtiers Agat chez Groeneveld. Toutefois, elles peuvent être limitées par leur manque d’ouverture et de fonctionnalités — par la difficulté, par exemple, de récupérer des données sociales à distance ou de s’intégrer avec un logiciel de transport (TMS). Largement amorti, le matériel a donc vocation à �
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