Un mode toujours face à des barrages

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Les chargeurs peinent à intégrer le mode fluvial dans leurs plans de transport. Coût, transit time long… les freins au développement sont multiples. Un contre-exemple avec Vinci pour l’évacuation des gravats de la « Samar » à Paris.

Nous pouvons faire quatre fois plus de fret fluvial en France ! », s’est enflammée la députée socialiste Valérie Fourneyron, au Propeller Club de Rouen le 14 octobre. Invitée à présenter sa mission parlementaire sur les freins à la compétitivité des ports de l’axe Seine, elle a notamment évoqué ses recommandations pour améliorer le report modal fluvial. Pour résumer, il faut réaliser la mise au grand gabarit de l’Oise, faire en sorte que la plateforme multimodale du Havre (qui peine à démarrer, Ndlr) « trouve son équilibre » et « accélérer les études pour la chatière(1) au Havre ».

« Si l’on n’inscrit pas la chatière comme la priorité des priorités, si l’on continue à mettre le terminal multimodal comme premier axiome, il n’y aura pas de développement du fluvial », a déclaré Vincent Saurel, directeur Normandie de Marfret, compagnie exploitant un service de

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