Un mois après l’effondrement du pont Morandi

Article réservé aux abonnés

Avec l’effondrement du pont, l’économie génoise risque d’entrer en crise en raison des difficultés liées à l’acheminement des marchandises. L’OT a rencontré Giuseppe Tagnocchetti, coordinateur régional de Trasportounito, l’association nationale des transporteurs, pour faire le point sur la situation.
OT : Quel bilan dressez-vous de la situation un mois après l’effondrement du pont Morandi ?

G.T. : La mairie a fait beaucoup d’efforts au chapitre de la viabilité pour mettre en place un circuit alternatif afin de décongestionner la circulation. Des routes ont été construites, des voies d’accès internationales sont à l’étude pour éviter de bloquer les activités des transporteurs, puisque le port est le moteur économique de la ville et de la région. À l’intérieur du port, l’ouverture de la route qui part des aciéries Ilva est essentielle. Elle s’étale sur 6 kilomètres et débouche sur l’autoroute en passant par l’aéroport. Non seulement elle va permettre aux poids lourds d’éviter la ville mais elle va aussi relier le bassin de Voltri-Pra où transitent les deux tiers des deux millions de conteneurs

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualités

Actualités

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15