UN RETOUR DE LA REMORQUE EST-IL POSSIBLE ?

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Les échanges internationaux de l’Algérie sont pour l’essentiel opérés à l’aide de conteneurs maritimes aujourd’hui. Concernant les flux avec l’Europe et la France, plusieurs développements dans l’industrie et la distribution sont susceptibles de changer cette donne au profit de la remorque routière. À condition que le régime TIR s’affirme…

Comparée au Maroc et à la Tunisie, l’Algérie importe 85 % de ses produits manufacturés et de consommation, et en exporte très peu. « La structure des flux est à cette image, marquée par un déséquilibre important entre flux Nord-Sud et Sud-Nord », relève Jérôme Dorel. Une autre différence réside dans « la part du conteneur maritime », ajoute le directeur de l’agence de Marseille du groupe Militzer & Munch. Au détriment de la remorque routière, pénalisée par des procédures et des transits portuaires longs, en groupage notamment, ainsi que par l’absence d’organisme local garant du régime TIR, le conteneur est désormais utilisé à plus de 95 % dans les échanges entre l’Algérie et l’Europe. Dans la plupart des cas, la remorque est opérée à la demande. Sauf chez D

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