« Une relation gagnant-gagnant avec nos sous-traitants »

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La filiale française du groupe postal britannique continue de se singulariser sur le marché hexagonal avec une organisation de moyens roulants intégralement sous-traités. Son directeur général, Émeric Bastid, entend capitaliser sur les développements informatiques maison et la maîtrise capitalistique des moyens immobiliers pour accompagner la croissance de GLS France.
L’O.T. : Quel est le positionnement de votre groupe aujourd’hui ?

EMERIC BASTID : Le groupe Royal Mail se porte bien, en particulier sa filiale GLS (+ 10 % de croissance en 2015). Son infrastructure spécifique, physique, avec ses propres équipes en Europe, porte ses fruits, à la fois sur les segments B2B et B2C. Nous ne sommes pas des expressistes. En France, nous traitons 92 % de nos volumes en 24 heures (avant 18 h) et 8 % en 48 heures. Il y a peu d’acteurs sur ce segment dans le monocolis. Nos principaux concurrents sont Chronopost, TNT et DPD. Dans le B2C, nous sommes confrontés à La Poste avec son Colissimo. Au sein du groupe, il y a une volonté d’intégrer l’organisation GLS et la partie Royal mail pour le colis, le tout dans le cadre d’une strat�

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